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Le maître d’ouvrage avait le souhait de valoriser une cour oubliée.

L’édifice premier qui l’occupait, malgré qu’il fût réalisé au XVIIème siècle n’était qu’un dépôt et donnait de ce lieu une image dégradée.

L’activité déjà déployée, au sein de l’immeuble existant auquel la cour est attachée, consiste en la location de chambres d’hôte, il devenait alors naturel de projeter un pavillon pouvant abriter des appartements complémentaires, dans une logique commerciale d’appartements-hôtelier.

Accompagnant cette intention, le désir, malgré la difficulté tant technique par sa position reculée, qu’administrative, fut de relier la rue à la cour, par un espace de qualité. Faire de ce passage, autre fois à valeur de traboule, la porte déplacée de la maison renforça cette notion perdue de passage public et, d’une certaine manière, agrandissait la construction dont la cour et le corridor d’accès sont des compléments.